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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 11:27

Le magazine Géo a interviewé Pierre Grundmann en septembre 2012 à l'occasion de la sortie de "La peinture aborigène" aux Nouvelles Editions Scala. Cet ouvrage qui donne les clefs aux novices comme aux amateurs sur les origines et l'évolution de la peinture aborigène australienne jusqu'à nos jours a été co-écrit avec Stéphane Jacob, Maia Ponsonnet et Pierre Grundmann.

Retrouvez cet interview ici.

 

Pour plus d'informations sur le livre "La peinture aborigène" (articles, communqiué de presse, présentation des auteurs, etc.), c'est ici.

 

 

peinture-aborigene-australie

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et du livre "La peinture aborigène". Il est signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 10:00

Retrouvez sur l'excellent blog de Bertrand Estrangin les minutes de la conférences de Stéphane Jacob - expert en art aborigène - qui s'est tenue à Bruxelles le 26 janvier 2013 et portait sur la place de l'art aborigène dans les musées européens.

Cliquez ici pour lire cet article.

 

 

stephane-jacob-expert-art-aborigene.jpg

L'expert en art aborigène Stéphane Jacob (à gauche) présente une toile de l'artiste aborigène Abie Loy Kemarre. A droite, sculpture Bagu.

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et du livre "La peinture aborigène". Il est signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 11:58

Le 13 décembre 2012 a été organisée une table ronde, "Collectionner les Arts Premiers", par l'excellente association Détours des Mondes. Animée par Martine Pinard et Christian Couturier, cette table-ronde réunissait des collectionneurs qui nous ont fait partager leur passion.

Si elle réunissait beaucoup de collectionneurs d'art africain, deux collectionneurs d'art aborigène étaient présents : Jean-Jacque de Dardel (ambassadeur de Suisse en France) et Bertrand Estrangin qui est l'auteur d'un excellent blog dédié à l'art aborigène.

 

Vous pouvez visionner l'ensemble de la conférence qui est composée de 15 vidéos qui se succèdent, voici la première vidéo :

 

 

Pour voir les autres vidéo, allez sur la page youtube de Détours des Mondes en cliquant ici.

 

Enfin, voici ci-dessous les vidéos des interventions de Jean-Jacques de Dardel et Bertrand Estrangin, deux collectionneurs passionnés d'art aborigène. Comment choisir une oeuvre d'art aborigène ? La signification du temps du Rêve "re-présenté" a-t-elle une valeur qui préside au choix ? Accordez vous plus d'importance aux audaces esthétiques ? Jean-Jacques de Dardel et Bertrand Estrangin apportent leurs points de vue sur ce sujet..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et du livre "La peinture aborigène". Il est signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 15:14

logo-parismatch.pngStéphane Jacob*, spécialiste de l’art aborigène et auteur avec Pierre Grundmann et Maïa Ponsonnet de « La peinture aborigène » (éd. Scala), explique le rôle primordial de l’art dans la civilisation aborigène.


Retrouvez l'intégralité de l'interview sur le site de Paris Match en cliquant ici.

 

 

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et du livre "La peinture aborigène". Il est signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 12:18

    du mardi 22 au jeudi 24 janvier 2013
    14h30 -19h00 le 22
    9h30-18h00 les 23 et 24
    Musée du quai Branly, salle de cinéma
    langue : anglais

Les données ethnographiques sur les Aborigènes australiens mises en circulation à la fin du 19ème et au début du 20ème siècle ont considérablement influencé les études anthropologiques sur les mythes, les rites, la parenté, l'art et l’économie des sociétés de chasseurs-cueilleurs. En dépit d'importants changements politiques survenus à partir des années 1960, à la suite des campagnes menées par les Aborigènes afin de faire reconnaître leurs droits, notamment fonciers, de leur visibilité croissante sur les scènes nationales et internationales, et de leur capacité à s'ajuster de façon créative aux ingérences qu'ils subissent de la part des gouvernements et d'autres instances extérieures, la majorité des travaux produits en Europe par les anthropologues non-australianistes se fondent encore sur une tradition intellectuelle héritée du passé.

En revanche, en Australie, le climat politique particulièrement chargé concernant les Aborigènes a conduit à des remises en question quant à la façon de pratiquer l'anthropologie. On exige des chercheurs, d'une part, qu'ils négocient la place et le rôle qu'ils ont à jouer en fonction de problématiques politiques, économiques et sociales contradictoires et changeant au fil du temps et, d'autre part, qu'ils se conforment aux standards éthiques édictés par leurs institutions qui, de leur côté, évaluent la recherche en termes de « bénéfices » attendus pour les populations étudiées.

Enfin, pour de nombreux anthropologues australiens travaillant avec les Aborigènes, dont les données sont susceptibles d'être utilisées par de grands groupes industriels ou requises par les tribunaux, la ligne de partage entre anthropologies impliquée et appliquée est problématique et soulève, en dernier ressort, la question de la responsabilité scientifique. De nombreux anthropologues européens ont contribué à ces débats en Australie et en dehors, en s'engageant dans de longues recherches de terrain avec différents groupes aborigènes.

Ce colloque qui réunira, pour la première fois en France, une trentaine de spécialistes australiens, européens et américains, explorera de manière approfondie les soubassements théoriques et empiriques de l’anthropologie aborigène contemporaine. L'articulation problématique entre activisme culturel aborigène et réflexivité anthropologique, héritage scientifique et recherche actuelle, traditions ethnologiques australiennes et recherche européenne, et l’influence des politiques de la recherche sur la production du savoir anthropologique seront examinées à travers cinq panels exprimant la diversité des travaux contemporains concernant l'Australie aborigène.

 

Pour plus d'informations sur ce colloque majeur où vous pourrez écouter les plus grands spécialistes internationaux, aller sur la page dédiée du site du musée du quai Branly (vous trouverez les informations en milieu de page)

 

 

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et du livre "La peinture aborigène". Il est signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 11:01

Voici ci-dessous une nouvelle critique élogieuse sur notre livre consacré à la peinture aborigène qui nous fait très plaisir. Elle a été écrite par Sylvie Génot de la revue lexnews.fr, une formidable revue culturelle en ligne que nous vous invitons vivement à découvrir.

 

« La peinture aborigène » collection « sentiers de l’art » 127 pages – illustrations couleurs Format 16.5 X 20.5 cm, Nouvelles Editions SCALA, 2012.

 

         logolexnews.jpg


Une collection n’aurait pas mieux porté son titre de « sentiers de l’art » que les éditions Scala pour ce livre sur la peinture aborigène d’Australie dont il suffit de suivre le fil d’une ligne bleue pour partir à la découverte de cet art, de son historique, de ses représentations picturales traditionnelles et contemporaines à travers des chemins de traits, de lignes, de points, de couleurs et de mots qui racontent les origines de cet art (aujourd’hui mondialement reconnu comme unique dans le monde de l’art, des galeries, des collectionneurs et du marché « sonnant et trébuchant ») et son évolution jusqu’aux démarches artistiques et militantes des artistes contemporains.


Attention, pas de méprise avec Stéphane Jacob spécialiste en art aborigène, Pierre Grundmann journaliste, écrivain et Maïa Ponsonnet ethnologue et linguiste, les trois auteurs qui ont conçu ce livre comme un guide pour tous celles et ceux qui souhaitent découvrir ou réviser certaines données clés de l’art aborigène. Immédiatement identifiable, cet art ancestral franchit les frontières de ce continent si éloigné de l’Europe, qu’est l’Australie, à partir des années 1970 quand des hommes comme Karel Kupka (peintre d’origine tchèque, ethnologue et proche des surréalistes 1918-1993) influença le monde occidental vers une reconnaissance de cette forme unique artistique, partageant sa perception profonde des œuvres des « maîtres peintres » aborigènes. C’est avec l’apparition de matériaux nouveaux et imputrescibles (toiles, peintures acryliques…) que ces artistes du désert, sans aucune formation technique à la peinture occidentale, vont exprimer leur histoire, leurs mythes, leurs messages ancestraux profondément ancrés dans leurs pratiques culturelles millénaires. Les occidentaux , littéralement éblouis par l’inventivité, la créativité, la liberté, la virtuosité, la beauté des œuvres de cet art en mouvement, les font entrer dans les musées, les galeries et dans les grandes collections internationales, comme le plus grand mouvement d’art actuel. Mais une partie du mystère peint sur ces toiles reste protégé, inaccessible aux non-initiés. Même si certaines clés de lecture nous ont été données par les artistes eux-mêmes, comme les mouvements migratoires, la cartographie de lieux sacrés, les points d’eau, de chasse, les regroupements des différentes peuplades du bush, les patrimoines thématiques, les rituels, certaines symboliques, les rêves d’origine, le secret le plus profond reste heureusement bien gardé, car cet art si énigmatique au premier regard nous fait aller plus loin en nous même. C’est à partir des pages les moins réjouissantes de l’histoire des peuples aborigènes jusqu’à l’explosion de l’art contemporain que le trio des ces auteurs passionnés nous guident à travers les chefs-d’œuvre d’artistes du désert australien aux univers troublants et pourtant structurés, comme une parole chamanique qui nous mènerait vers un autre niveau de conscience…


Rien de plus facile que se laisser aller au fil des chapitres, de retourner quelques pages en arrière pour observer de nouveau les toiles, choisies par les auteurs eux-mêmes et qui illustrent des propos clairs, compréhensibles par tous. Il suffit de suivre cette ligne bleue pour partir un peu au-delà de nos frontières et explorer l’universalité de cet art.


Ce guide, plein de références, d’histoires, d’explications, d’anecdotes, d’hommes et de femmes exceptionnels, de rêves… se lit comme un roman et donne envie de plonger dans la peinture aborigène.


Tous les sites en France ou à l’étranger où l’on peut voir les œuvres de ces « maîtres peintres » sont en fin d’ouvrage, il suffit donc d’aller au plus près de chez soi !!!

 

Eivlys Toneg

http://www.lexnews.fr/leslivres.htm#BEAUXLIV

 

 

Pour plus d'information (communiqué de presse, bio des auteurs, etc.)  sur "La peinture aborigène", visitez notre page dédiée ici.

 


Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

 

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 16:13

Dennis-Nona-art-aborigene-estampe.jpg

Dennis Nona, "Wati Kisai", eau-forte, 46 x 33 cm, 2007

Les récentes eaux-fortes de Dennis Nona ont été réalisées en collaboration avec les imprimeurs de Brisbane, David Jones et Jacek Rybinski, dans leur atelier, Under the House of Art. C’est là que Dennis a élaboré sa technique atypique de la plaque « découpée ». 

Au départ du processus, l’artiste produit une esquisse. Il discute avec ses imprimeurs de la meilleure façon de réaliser l’image. Il dessine alors les contours de l’image sur une plaque métallique qui est découpée à la main avec une scie de bijoutier. Les bords en sont ensuite biseautés et polis. Si la forme est trop complexe pour être découpée à la main, on crée une image informatique à partir du dessin et on l’envoie avec la plaque de métal vierge à une société spécialisée dans la découpe au laser ou au « jet » d’eau.

Lorsque cette plaque est découpée, on y applique une couche de vernis à graver, substance généralement bitumineuse, résistant à l’acide. L’artiste peut y tracer le contour des formes principales à l’aide d’une pointe. La plaque subit alors sa première « morsure », c’est à dire qu’elle est plongée dans une solution acide pendant le temps nécessaire pour ronger le métal dans ses parties préalablement mises à nu par la pointe. Ensuite, une couche de tusche est souvent appliquée. Cette encre très grasse n’est généralement pas utilisée dans la technique de l’eau forte mais dans celle des dessins sur les pierres dites « lithographiques » ; en l’appliquant sur le métal, Dennis obtient de très beaux effets au rendu aquatique ou rocheux. 

D’autres effets sont aussi obtenus par la technique de l’aquatinte : on saupoudre la plaque légèrement chauffée de très fins granulés de résine également bitumineuse ; les particules adhèrent à celle-ci, créant à la surface une sorte de nuage de points. A la suite de nouveaux bains d’acide, les morsures successives vont créer différents types de rendu. L’opération peut être répétée en masquant à chaque fois de nouvelles zones selon l’effet recherché.

Une fois que tout est « mordu », et que la plaque est nettoyée, elle est maintenant prête à recevoir les couleurs ; il est temps de faire un essai. On mélange les encres et on réalise quelques tirages. Si le résultat est satisfaisant, on peut procéder à une édition à partir de la plaque. Si l’image est imparfaite, on recommence certaines étapes, voire le processus entier, jusqu’à ce qu’on obtienne satisfaction.

L’impression passe d’abord par l’encrage : l’encre est appliquée sur la plaque à l’aide d’un rouleau ou d’une « poupée » (tampon en tarlatane, sorte de gaze), puis on retire l’excédent également avec une tarlatane. La plaque doit ensuite être frottée avec du papier pour éliminer les derniers restes d’encre superflus. L’image est alors imprimée manuellement sur un papier chiffon humide, avec une presse à eau-forte. La plaque et le papier passent entre les rouleaux, et la pression transfère sur le papier l’encre accumulée dans les zones incisées de la plaque. Les surfaces découpées provoquent un bossage du papier, créant un effet tridimensionnel. L’artiste voit cet embossage comme un élément important de l’eau-forte terminée, car il fait écho à la superposition des couches visible sur les vieux masques en écaille de tortue et autres objets traditionnels utilisés lors des cérémonies.

La durée du processus dépend de la complexité d’impression de chaque image. Elle peut prendre jusqu’à une demi-journée, et parfois même davantage pour les plus grandes oeuvres de Dennis.

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 09:00

patterns.jpg

 

"L'art de Papunya Tula, communément appelé «dot painting», est reconnu internationalement. M. Patterns raconte l'histoire de Geoff Bardon qui, de concert avec les artistes Papunya, a servi de catalyseur à ce que beaucoup considèrent comme l'un des plus grands mouvements artistiques du 20e siècle. Posté en tant que professeur d'art dans la Communauté de Papunya, établie par le gouvernenment dans le désert de l'Australie occidentale, le jeune  Bardon a trouvé plus de 1000 Aborigènes vivant dans un état de déchéance totale, leur culture ayant été systématiquement anéantie par une politique d'assimilation. Il a encouragé les gens à peindre leurs dessins traditionnels, utilisant des matériaux occidentaux plutôt que de copier l'imagerie européenne. A partir de projets de classe des enfants dans les années 1970, il s'est ingénié à proposer aux anciens de peindre eux-mêmes les légendes se rapportant à la culture pluri-millénaire de leur peuple. Au mépris des autorités blanches, Bardon a également encouragé les artistes à commercialiser leurs oeuvres, pensant que par la vente de peintures, les Aborigènes pourraient devenir peu à peu indépendants financièrement.
Quand Bardon a quitté la communauté à la mi-1972, les artistes aborigènes avaient créés leur propre coopérative et le mouvement révolutionnaire de l'art aborigène contemporain était né.
Mais pour Bardon, le coût personnel fut énorme. en effet, Bardon se trouva bientôt au centre d'une diffamation au vitriol fomentée par la population blanche australienne qui pensait que les Aborigènes devaient rester à leur place.

En utilisant des images d'archives fascinantes prises par Bardon lui-même, les cinéastes présentent une histoire fascinante d'un drame personnel et politique. M. Patterns est un voyage au cœur d'une communauté d'autochtones et un exposé de la division raciale dans l'Australie moderne."

 

Source : www.der.org/films/mr-patterns.html

Cliquez ici pour trouver le document d'aide pédagogique (en anglais) associé au film :
http://www.der.org/resources/study-guides/mr-patterns-study-guide.pdf
 

Retrouvez toutes les oeuvres provenant de Papunya Tula Pty Ltd sur notre site

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 02:31

Qu’est-ce que collectionner l’art « premier » ?

Table ronde proposée par l'association Détours des Mondes

detoursdesmondes@gmail.com
ou 0625397769

http://detoursdesmondes.typepad.com/dtours_des_mondes/

 

moderne170.jpg

Jeudi 13 décembre 2012 à 14h

Salle Saint-Lambert, 31 rue Péclet - Mairie du 15è

 

Comment commence-t-on une collection dʼart premier ? Dans un domaine où il nʼy a pas de noms dʼartistes, pas de dates ; sur quels critères repose lʼacquisition dʼun objet ? Le bon sens ? Lʼintuition ? Le pedigree ?
Lʼémotion ? Le coup de foudre ?
« Avoir un oeil » ... cela signifie-t-il quelque chose ?
Comment chaque collectionneur décrit-il sa démarche ?
Quel est le rapport du collectionneur à ces objets si particuliers, peut-on parler dʼobjets-personnes ?
Quels conseils donner à un jeune collectionneur débutant ? ...
Beaucoup de questions se posent et cʼest pourquoi nous avons choisi dʼinviter aujourdʼhui des collectionneurs dʼart africain mais aussi des collectionneurs dʼart aborigène car il sʼagit probablement dʼune toute autre
démarche pour un mouvement dʼart contemporain.
À travers leurs différents parcours, leurs rencontres, leurs voyages réels ou imaginaires, nous vous convions à écouter des hommes passionnés nous parler de leur passion.

 

Une rencontre avec :

Yves Créhalet
Administrateur-Trésorier dʼUNICEF France, auteur, collectionneur dʼart africain

Jean-Jacques de Dardel
Ambassadeur de Suisse à Paris, collectionneur dʼart aborigène

Bertrand Estrangin
Consultant dans l'industrie, collectionneur d'art aborigène, d'art inuit et de curiosités
(Blog : " Sur les pas d'une collection" )

Jacky Vallet Isaky
Peintre, collectionneur dʼart africain

Robert Kopp
Professeur à lʼUniversité de Bâle et Paris, auteur

Emmanuel Pierrat
Avocat, écrivain, collectionneur dʼart tribal

 

Animée par :
Martine Belliard-Pinard,Présidente et Fondatrice de Détours des Mondes
et Christian Couturier, Médecin-Honoraire des Hôpitaux de Paris, Collectionneur dʼart africain

 

 

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.) et du Comité professionnel des galeries d'art. Co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon  et de l'ouvrage "La peinture aborigène" aux nouvelles Editions Scala. Signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art  aborigène d’Australie. 

 

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 14:08

 

Art Gent ouvre ses portes au public aujourdh'ui.

Vous pourrez admirer entre autres sur le stand de 60 m2 de la galerie Arts d'Australie • Stéphane Jacob les oeuvres de Bill Whiskey Tjapaltjarri, Dorothy Napangardi, Wentja Napaltjarri, Abie Loy Kemarre, Kathleen Petyarre, Andrea Martin Nungurrayi, Nora Wompi, les artistes de Papunya ainsi que les sculptures "Bagu" des artistes de la communauté de Girringun et enfin les artistes australiens occidentaux tels que notamment Ann Thomson, GW Bot et Euan McLeod.

 

Art Gent / Lineart 2012

du 30 novembre au 4 décembre 2012

Stand L-106

Flanders Expo, Gand – Belgique (GPS : Adolphe Pégoudlaan, 9051 Gent)

aller sur le site du salon

 

 

logo-art-gent-art-aborigene.jpg

 

Stéphane Jacob dirige la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob. Expert en Art Aborigène, Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.), co-auteur du catalogue des collections du musée des Confluences de Lyon et signataire de la charte d’éthique australienne Indigenous Art Code, il s’attache depuis 1996 à faire connaître l’art et les artistes contemporains d’Australie.

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Présentation

  • : Le blog de la galerie Arts d'Australie • Stéphane Jacob, Paris
  • : Stéphane Jacob, diplômé de l'Ecole du Louvre, spécialiste de l'art australien contemporain, expert C.N.E.S. en art aborigène, a créé en 1996 la galerie Arts d'Australie · Stephane Jacob en France à Paris dans le XVIIe arrondissement. Expert en art aborigène. Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.) - Membre du Comité Professionnel des Galeries d'Art - Officier honoraire de l’Ordre d’Australie Retrouvez-nous sur www.artsdaustralie.com
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