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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 13:11
art aborigène, grand Palais, Art Paris
L'art aborigène sur le stand A2


Retrouvez ici les photographies du stand de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob (stand A2) qui expose sa collection d'art aborigène au Grand-Palais.

ART PARIS ART FAIR
GRAND PALAIS, PARIS, Stand A2

4 - 7 avril 2019

Voir les photographies du stand dédié à l'art aborigène

http://www.artparis.com/fr

Où trouver des oeuvres d'art aborigène australien ?

Art aborigène, Grand Palais, Paris
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7 février 2019 4 07 /02 /février /2019 11:16
peinture aborigène, sculpture Mimih, Antony, IDF
Exposition d'art aborigène australien et insulaire du détroit de Torres

Dans le cadre d' "Ouverture sur le monde", la Maison des Arts à Antony invite pour la première fois le public à découvrir du 13 février au 31 mars 2019 une exposition dédiée aux arts aborigènes et insulaires d'Australie.

La galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob a prêté à cette occasion 45 oeuvres provenant de la plupart des régions australiennes. L'Ambassade d'Australie prête pour sa part des oeuvres rares datant des années dix-neuf-cent-soixante-dix.

Cette exposition permettra ainsi aux novices aussi bien qu'aux connaisseurs d'apprécier la richesse et la diversité des oeuvres créées par les artistes de cette île-continent.

MAISON DES ARTS
Parc Bourdeau - 20 rue Velpeau
92160 ANTONY
01 40 96 31 50
Site

ENTRÉE LIBRE
Du mardi au vendredi 12h-19h / Samedi et dimanche 14h-19h
Fermé les jours fériés

VERNISSAGE MARDI 12 FÉVRIER 2019 À PARTIR DE 19H00.
Télécharger l'invitation

Station Antony RER B

Où trouver des oeuvres d'art aborigène et insulaire du détroit de Torres ?

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3 janvier 2019 4 03 /01 /janvier /2019 10:10
pointillisme, peinture aborigène, art australien contemporain, Paris
Peinture pointilliste de Jill Watson NUNGARRAYI


Originaire de Yuendumu dans le désert central australien, Jill Watson est une artiste aborigène. Jill Watson célèbre ici le territoire sacré de Purrupurru, au nord de Yuendumu, où les femmes des deux clans viennent cueillir des oignons du bush (Janmarda), sortes de petits bulbes qui poussent aux abords des marais.

La légende dit qu’au Temps du Rêve des femmes-Ancêtres venues à Purrupurru pour cueillir des Janmarda  aperçurent un vieil ancêtre de lignée Jungarrayi, Warungurla, en train de les observer, caché derrière un buisson. Voulant les séduire, il fit entrer son sexe très long (ngirnti) dans le sol et le fit ressortir près des femmes. Prises de panique, celles-ci se mirent à frapper son sexe avec leurs bâtons jusqu’à tuer Warungurla que l’on peut voir encore aujourd’hui à Purrupurru sous la forme d’un gros rocher.

Le cercle central symbolise le site sacré de Purrupurru, alors que les autres formes concentriques qui scandent cette peinture représentent les bulbes d’oignon vus du ciel qui semblent s’étendre à l’infini et donnent à la toile une grande énergie.  Ainsi se caractérise au mieux l'art aborigène contemporain : ancré dans le monde mythique du Temps du Rêve, il doit en assurer la permanence par un imaginaire pictural sans cesse renouvelé dont la poésie profonde lui permet de rivaliser avec celui des grands artistes occidentaux.

Où trouver des oeuvres aborigènes ?

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19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 11:32
Stéphane Jacob & S.E. Sir Peter Cosgrove (c) Photo : Claire de Robespierre

Stéphane Jacob-Langevin s’est vu décerner le 12 novembre 2018 la médaille de Membre Honoraire (AM) de la division générale de l’Ordre d’Australie pour ses services rendus à la promotion de l’art et des artistes aborigènes australiens.  
 
Pour les amateurs d’histoire, nous vous proposons ici un bref rappel de la genèse de cette remarquable distinction.
 
Créé le 14 février 1975 par la reine Elizabeth II, reine d’Australie, l’objectif de l’Ordre d’Australie est de reconnaître par un honneur national ceux qui ont fait des contributions exceptionnelles aux communautés et au pays et de les identifier comme modèles pour encourager les aspirations et idéaux des communautés.
 
Il existe deux divisions de cet ordre : Générale (Civile avant 1976) et Militaire. Chacune compte quatre catégories de reconnaissance : compagnon, officier, membre et médaillé de l’Ordre d’Australie.
 
La nomination peut être proposée par n’importe quel citoyen australien ou organisation et doit rester confidentielle, la personne nominée ne doit pas être mise au courant de cette démarche qui peut prendre au minimum 18 mois à deux ans. Toute candidature est étudiée par le secrétariat avant d’être présentée au conseil de l’Ordre d’Australie. Ce conseil est composé du Vice-Président du Conseil Exécutif Fédéral, du ministre responsable de l’administration du système d’honneur australien, du chef de la Défense et de 16 autres personnes désignées par le Gouverneur-Général (Représentant du chef de l’Etat australien, Elisabeth II, reine d’Australie.) Parmi ces 16 personnes se trouvent : huit désignées par le Premier Ministre, un par chaque état d’Australie, un par le Territoire du Nord et un par le Territoire de la capitale australienne.

Ce Conseil se réunit deux fois par an puis rend ses recommandations au Gouverneur Général.
Les annonces sont faites le 26 janvier lors de la fête nationale et le 8 juin, anniversaire officiel de la reine.
 
Le titre de Membre de l’Ordre d’Australie est décerné afin de récompenser une personne s’étant dévouée dans une région ou un secteur d’activité particulier ou bien pour un groupe particulier.
Lorsque le prix est remis à un non-citoyen australien, cela fait de lui un membre honoraire de l’Ordre d’Australie.
 
Cette médaille a été conçue par M. Stuart Delvin AO CMG en 1976. La médaille de 45mm de diamètre présente une fleur de mimosa doré en forme de disque d’argent plaqué d’or à la riche texture de perles et lignes radiantes. Son centre est cerclé d’un bandeau accueillant le mot « Australia » et paré de part et d’autre de deux brins de mimosa.
Le tout est surmonté d’une Couronne de Saint-Édouard (joyaux de la Couronne britannique, utilisée désormais exclusivement pour le couronnement des monarques) qui est émaillée et d’un ruban de 38 mm de large, couleur bleu roi où sont réparties des fleurs de mimosa de diverses tailles.

La médaille se porte sur la poitrine ou bien l’épaule gauche, suspendue à son ruban ou bien en nœud pour les femmes.

Deux autres décorations sont remises avec la médaille :
 
- Une miniature présentant l’Emblème de l’Ordre de 20 mm de diamètre surmonté de la Couronne de Saint-Édouard qui a un centre émaillé de bleu. Elle se porte sur la poitrine gauche, suspendue à un ruban de l’Ordre de 16mm de large ou placée sur une barre de métal.
 
- Le badge présentant l’Emblème de l’Ordre de 10mm de diamètre au centre émaillé.


Règles de précédence :
 
Une récompense de la division Générale donne précédence à son porteur par rapport à quelqu’un qui aurait le même titre au sein de la division Militaire.
 
Ce titre autorise la personne l’ayant reçu de mettre la particule « AM » après son nom pour toute occasion qui s’y porterait et de porter la décoration comme indiquée.

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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 13:39

La galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob, expert en art aborigène, présentera sa nouvelle exposition dédiée aux arts aborigènes et insulaires du détroit de Torres,

Parcours des Mondes, art aborigène
Invitation au Parcours des Mondes

dans le cadre du

PARCOURS DES MONDES, XVIIe édition du salon international des arts premiers et asiatiques

Ouverture du mercredi 12 au dimanche 16 septembre de 11 h à 20 h

Vernissage mardi 11 septembre 2018 de 15h à 21h (entrée libre)

NOUVELLE ADRESSE : Galerie Etienne de Causans
27 rue de Seine 75006 Paris

 

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28 mai 2018 1 28 /05 /mai /2018 09:21
Art aborigène, parisien
Le stand de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob, art aborigène

Une photo du stand de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob dans l'article du Parisien dédié au Bourgogne Tribal Show.

Voir des oeuvres d'artistes aborigènes et insulaires du détroit de Torres

 

 

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23 avril 2018 1 23 /04 /avril /2018 10:50
Art aborigène en Bourgogne
Art aborigène au Bourgogne Tribal Show

La galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob présentera des oeuvres d'art aborigène pour cette troisième édition du Bourgogne Tribal Show.

Le Bourgogne Tribal Show est la première foire commerciale internationale d’art tribal à se tenir à la campagne.

Dans un cadre champêtre, et une ambiance détendue propice à la découverte, à l’échange et à la discussion, le Bourgogne Tribal Show propose à son public une expérience résolument différente.

+ d'info (adresse, galeries présentes, etc.)

BOURGOGNE TRIBAL SHOW

BESANCEUIL (SAÔNE-ET-LOIRE), FRANCE

du 24 mai au 27 mai 2018

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10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 14:40
Madame Figaro recommande la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob
Découvrir l'art aborigène australien en France

Dans son dossier "Sydney, la nouvelle destination touristique arty de l'Australie",
Madame Figaro recommande à ses lectrices de visiter la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob (expert en art australien) avant de partir à Sydney.

Lire le dossier complet sur le site de Madame Figaro

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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 15:27
Art aborigène
Sculptures aborigènes Bagu, Queensland

Le  chant du volume…

eroa, acronyme, n'est pas échappé d'un idiome préhistorique mais nomme un lieu commun à tous au cœur de l'établissement pour accueillir l'Autre et devenir hôte.

L'espace rencontre avec l'œuvre d'art (eroa) est pensé pour recevoir, deux fois par an, une exposition qui, par la présence de l'œuvre, et de l'artiste parfois, offre aux élèves, aux individualités naissantes, de croiser d'autres regards, d'autres histoires pour qu'à leur écoute chacun puisse se grandir dans le dialogue.

Rencontre entre l'œuvre et le collectif, rencontre entre l'œuvre et l'intime. Ainsi se posent des amers, des semis qui font ou feront le parcours de découverte et d'apprentissage de chaque élève se faisant hôte en s'ouvrant à l'Autre.
    
Dès l'ouverture de la porte, la tête se met à l'envers, prend la tasse dans un passage pour l'autre bout du Monde. Très vite, le regard se rassure en reconnaissant des formes animales, mais il n'en reste pas moins que d'étranges créatures promènent leurs silhouettes et regards en parallèle des premiers pas dans l'espace, où l'inconnu prédispose à l'écoute pour ne pas rester à l'écart.

Chaque élève entrant a, par le travail plastique mené en amont, des clés pour entrer en dialogue avec les œuvres en volume de l'Art Aborigène.

Les plus jeunes des collégiens retrouvent une figure connue de la conquête du feu : Chikka-Bunnah par le truchement des Bagu. Cet esprit du feu, créateur des étoiles filantes dans le firmament  du Temps du Rêve, a été représenté en volume par les élèves. Le choisissant lui ou, en contrepoint, notre classique Prométhée, la clé opère et les jeunes 6ème écoutent l'origine des Bagu, les usages et abordent la mémoire transmise par les artistes contemporains.

Ces mêmes Bagu intriguent les élèves de 5ème qui perçoivent leur caractère d'objet usuel, du quotidien. Mais ces élèves, ayant travaillé sur l'esthétisation d'un objet de leur quotidien pour qu'il devienne un objet d'art ne s'y trompent pas et mesurent le travail des artistes par le surcroît de sens conféré à l'objet. Les artistes se sont éloignés de l'objet en bois initial permettant pour l'homme aborigène responsable de la communauté de maîtriser le feu si précieux et utile à la vie. Le statut d'objet d'art que les élèves ont parfois atteint dans leurs réalisations  les éveille à l'art présent chez les Bagu qui sont œuvres à part entière en évoquant la mémoire d'un geste, en incarnant un récit pour que la loi qui subsiste soit transmise et puisse concourir à l'équilibre des forces de la nature et des grands ancêtres.

Mais, il n'y a pas que les Bagu dans l'exposition qui peuvent  retourner au visiteur son regard. Un Mimih et deux séduisantes Yawkyawk semblent en conversation tout en ne semblant pas se soucier plus que cela de notre présence humaine.

Les élèves de 3ème reprennent la piste des chants commencée par eux au travers des peintures aborigènes exposées deux ans auparavant. A peine une seconde dans la conscience au monde de la Culture Aborigène, mais presque déjà une éternité pour les élèves habitués à la vitesse du monde occidental, habitués au renouveau du présent toujours actualisé où la minute passée est déjà de l'oubli, perte, sauf à être sauvée par la mémoire si l'individu y trouve son intérêt individué, loin d'un sentiment et d'une conscience collectifs.

Cependant, les élèves relèvent les peintures couvrant les corps étrécis, s'étonnent de ne pas retrouver le Dot Painting des peintures de Papunya, du désert central. Les Rarrk des peintures dites au " rayon x " sur écorce n'étaient pas présentes dans la précédente exposition, mais les élèves se souviennent de l'importance des peintures corporelles explicitées par Valérie Mégard dans son film " Sur les traces de la fourmi à miel ".

Ils réalisent alors que ces personnages filiformes ont des traits presque humains : gros nez, yeux et bouche...et par le visage, cette fenêtre au monde, les élèves se demandent qui sont ces êtres à petits bras, jambes courtes à la limite de la queue de poisson. Ils ne savent pas si bien dire, et ne se doutent pas que ses créatures qu'ils contemplent composent un peuple voisin des aborigènes, peuple présent sur terre bien avant eux et qui par le partage d'une même langue, lors sans doute d'une nuit sans vent, a transmis aux hommes élus, initiés, bien des savoirs pour survivre : l'art de la chasse par exemple mais aussi celui des chants. Mais également la conscience d'être au Monde, de savoir ce qui y vit, ce que l'on peut lui prendre et ce que l'on doit lui rendre.    
Ne rien voler à la nature, ne prélever que le nécessaire, ne pas abuser de ce qu'elle offre sous toutes ses formes végétale, animale ou minérale.

Sculpture aborigène australienne, Maningrida, Terre d'Arnhem
Sculpture aborigène Yawkyawk


Un secret s'ébruite dans l'échange, deux de ces trois créatures sont des jeunes femmes, menues, sans formes féminines évidentes mais arborant une queue de poisson. Ou plus précisément un corps animal des eaux magiques, des lieux sacrés, un corps animal qui se satisfait d'une part humaine. Créature séductrice qui la nuit abandonne son appendice pour des jambes, pour voyager sur terre et parmi les hommes.

La séduction du récit enchante, les élèves se laissent porter par le Rêve aborigène. Eux qui pourtant ont confectionné des êtres à mi-chemin entre la sculpture, le volume et la marionnette pour donner un semblant de vie à une créature imaginaire enfuit d'un monde contigu, pas toujours effrayante mais souvent monstrueuse. La forme minimale, la sobriété des sculptures Mimih et yawkyawk intriguent, les élèves mesurent l'écart entre le foisonnement de leurs créatures et la quasi invisibilité des trois figures qui occupent, habitent nos esprits par leur présence.

Quant aux élèves de 4ème, eux aussi précédemment marcheurs des chants de piste, ils s'étonnent de la présence d'animaux marins quand la précédente exposition livrait plutôt les empreintes du varan ou de l'abdomen de la fourmi à miel. Les méduses, le Milk fish sont faits de filets de pêche, des résidus de l'exploitation industrielle de la mer. Les Ghostnets incarnent une faune qu'il faut protéger, défendre avant qu'elle ne disparaisse réellement et que les eaux, les rivages, ne soient plus que fantôme d'eux-mêmes.

Les artistes aborigènes donnent vie artistique aux animaux de la mer dont certains sont leurs ancêtres et ils luttent pour que survive leur Culture et que les déchets se convertissent en œuvres témoins. Bien au-delà d'une prise de conscience écologique, ils veillent à l'équilibre des sites mais aussi à la mémoire des grands ancêtres, à vivre une philosophie du Monde avec la pleine conscience d'en faire partie. Conscience que la société occidentale a pour partie étouffée, oubliée pour d'autres idéaux, dogmes mais en s'éloignant du matriciel rapport à la nature, au sol, aux éléments, au point de devoir tenter d'en retrouver le chemin par le politique.
    
Les élèves de 4ème n'ont pas réalisé d'animaux en volume mais des instruments de musique en matériaux de récupération. La musique est prégnante dans leur quotidien, elle leur permet d'expliquer son importance et son rôle dans la Culture Aborigène, ainsi que la danse qui paraît dans la présence de la coiffe de danse " requin marteau " de Ken Thaiday Snr.

Sculpture indigène australienne, Détroit de Torres, Queensland
Coiffe cérémonielle - Beizam, le Requin-marteau

Les élèves saisissent, tout à la fois, la pensée aborigène et la réalité écologique, la nécessité de protéger notre Monde qui ne peut plus être interprété comme immuable et la nécessité de repenser même la notion de déchet, de résidus. Sous bien des aspects, nous sommes au chevet de la nature et espérons que les Ghostnets ne seront pas les derniers témoins d'une vie marine…

La magie de cette exposition est qu'elle nous fait quelque peu passeur, relais du savoir mis en partage par Stéphane Jacob au travers de la beauté des œuvres qu'il nous a confiées pour que l'on transmette, en toute humilité, un pan de la Culture Aborigène. On entre dans le chant de cette exposition sans imaginer combien elle va nous conter la vie, repousser nos frontières et interpeller nos regards. L'on sort grandi de la rencontre, car notre monde n'est plus si étroit, du moins espérons-le. Et parions que si découvrir l'Autre est un étonnement, cela soit aussi l'accueil de son altérité.

Enfin, si l'exposition parle tant aux regardeurs qui s'y aventurent, c'est qu'ils perçoivent un chant du volume. Le chant du volume mène le regardeur sur d'autres pistes qui le révèle à soi-même.


Yann Stenven
Professeur d'Arts Plastiques
Collège A.Chatelet, Douai.

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14 décembre 2017 4 14 /12 /décembre /2017 10:29
Art aborigène, Berlin
Une exposition exceptionnelle d'art aborigène à Berlin

 

Exposition "Indigenous Australia: Masterworks from the National Gallery of Australia"

me Collectors Room Berlin
du 17 novembre 2017 au 2 avril 2018

La National Gallery of Australia (NGA) et le me Collectors Room Berlin présentent à Berlin une exposition d'art aborigène et insulaire du détroit de Torres.  Après avoir été présentée en Australie, cette exposition exceptionnelle donne un aperçu sur l'une des cultures les plus anciennes et les plus complexes de l'histoire de l'humanité.

La National Gallery of Australia détient la collection la plus riche d'art australien indigène. Cette exposition est ainsi l'occasion d'apprécier les multiples facettes de cet art à travers des oeuvres anciennes mais également des pièces contemporaines comme des photographies de Michael Riley, des vidéos de Christian Thompson ou bien encore des installations. Nous sommes fiers que des oeuvres des artistes dont nous défendons le travail depuis de nombreuses années soient présentées : Alick Tipoti, Emily Kame Kngwarreye, Clifford Possum Tjapaltjarri, Gulumbu Yunupingu, Paddy Jupurrurla Nelson, Rover Thomas [Joolama], Paddy Japaljarri Sims, Christian Thompson, Ray James Tjangala, Tim Leura Tjapaltjarri, Timmy Payungka Tjapangarti, John Mawurndjul

+ d'info sur le site de la fondation

Voir des oeuvres d'art aborigène d'Australie

 

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Présentation

  • : Le blog de la galerie Arts d'Australie • Stéphane Jacob, Paris
  • : Stéphane Jacob, diplômé de l'Ecole du Louvre, spécialiste de l'art australien contemporain, expert C.N.E.S. en art aborigène, a créé en 1996 la galerie Arts d'Australie · Stephane Jacob en France à Paris dans le XVIIe arrondissement. Expert en art aborigène. Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.) - Membre du Comité Professionnel des Galeries d'Art - Officier honoraire de l’Ordre d’Australie Retrouvez-nous sur www.artsdaustralie.com
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