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25 février 2020 2 25 /02 /février /2020 14:37
art aborigène
Cette affiche reproduit une oeuvre de Walala TJAPALTJARRI, "Tingari Cycle" (c)Walala TJAPALTJARRI/www.artsdaustralie.com

ARTS D’AUSTRALIE

Bibliothèque Louis Lansonneur
Rue Martin Luther King - La Glacerie
50470 Cherbourg en Cotentin

Du 25 février au 10 avril 2020
Entrée libre

La Bibliothèque Louis Lansonneur à Cherbourg en Cotentin présente une exposition d’art aborigène.
Cette exposition permettra au public de découvrir les multiples facettes d’un art fascinant.

La plupart des artistes aborigènes et insulaires australiens créent des œuvres afin d’honorer les légendes sacrées qui leur ont été transmises par leurs aïeux. Pour ce faire, ils utilisent des motifs parfois plurimillénaires. Pourtant, ces arts n’ont cessé d’évoluer au contact des cultures asiatiques et occidentales par le biais de nouveaux médiums (toile, peinture sur toile, estampe, vidéos, etc.) tout en gardant un style reconnaissable entre tous.
 
Si en Europe les expositions font généralement la part belle aux magistrales peintures pointillistes des artistes vivant dans le désert, cet événement présentera au public tous les autres styles artistiques émanant de communautés réparties sur un territoire grand comme l’Europe.
 
Les œuvres sont prêtées par la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob.
Spécialiste de l’art contemporain australien, en particulier de l’art aborigène et de l’art des Insulaires du détroit de Torres, Stéphane Jacob-Langevin a fondé sa galerie en 1996 et est aujourd’hui reconnu comme l’une des références européennes en la matière, tant par les collectionneurs que par les grands musées.
Stéphane Jacob-Langevin s’est vu décerner le 12 novembre 2018 la médaille de Membre Honoraire (AM) de la division générale de l’Ordre d’Australie par S.E. Sir Peter Cosgrove pour ses services rendus à la promotion de l’art et des artistes aborigènes australiens. Il a également été nommé Chevalier de l’Ordre du Mérite Culturel de la Principauté de Monaco par S.A.S. le Prince Albert II le 18 novembre 2019.

Où trouver des oeuvres aborigènes ?

 

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4 février 2020 2 04 /02 /février /2020 15:14
art aborigène
Regina Wilson PILAWUK, "Wupun (Sun Mat)", Acrylique sur toile, 150 x 120 cm, 2019

Regina Wilson PILAWUK est une artiste aborigène rare non seulement de par son talent mais aussi de par sa virtuosité technique qu’elle démontre dans deux arts très différents : la vannerie et la peinture.
 
Née en 1948, elle a grandi dans la mission de Daly établie au sud de Darwin par des jésuites autrichiens à la fin du XIXème siècle. Il lui était interdit alors de célébrer des cérémonies jugées alors païennes par les missionnaires, de parler sa langue natale avec ses proches, ou bien encore de pratiquer la vannerie, un art transmis de génération en génération dans son groupe familial depuis des millénaires. Celui qui deviendrait plus tard son mari, Harold Wilson, fut quant à lui arraché enfant à sa famille pour être élevé sur l’île de Melville par une artiste Tiwi.
 
On comprend mieux pourquoi tous deux décidèrent de fuir la mission de Daly en 1969, accompagnés de leurs enfants et de quatre autres membres de leur groupe afin de retourner sur la terre de leurs ancêtres et s’installer dans ce qui deviendrait en 1973 la communauté de Peppimenarti, située dans la zone humide de la Daly River, à 300 km au sud-ouest de Darwin.
 
Peppimenarti ou « gros caillou » a été fondée sur un site sacré et représente pour les Aborigènes qui s’y sont installés un vrai retour aux sources.
 
Pouvant enfin pratiquer la vannerie, Regina l’enseigna aux plus jeunes ainsi que les cérémonies rituelles de son peuple.
 
C’est plus tard en participant au Festival des arts du Pacifique à Nouméa en 2000 qu’elle et ses amies eurent l’idée de s’initier à la peinture. En effet, ce medium attira leur attention car il leur permettait de consigner les formes des objets en vannerie de façon plus pérenne que les objets en eux-mêmes. Les artistes reproduisirent ainsi sur la toile les dessins des objets qu’elles tressaient. Les peintures complexes aux motifs hypnotiques de Regina Wilson ont rapidement éveillé l’intérêt du monde de l’art puisqu’elle s’est vu décerner en 2003 le célèbre Telstra National Indigenous and Torres-Strait Islander Art Award du meilleur artiste peintre aborigène.
 
Depuis lors, ses œuvres ont été exposées en Australie mais aussi en Europe et en Amérique du nord où a été montrée récemment une exposition itinérante (« Marking the Infinite ») qui a permis à ses toiles d’être accrochées entre 2016 et 2019 aux murs des musées suivants : Newcomb Art Museum, Tulane University, Nouvelle-Orléans ; Frost Art Museum, Florida International University, Miami ; Nevada Museum of Art, Reno ; The Phillips Collection, Washington DC et le Museum of Anthropology, University of British Columbia, Vancouver.
 
L’œuvre présentée plus haut reproduit le schéma complexe d’un tapis de soleil. Ces tapis étaient à l’origine de forme conique, ils étaient des objets de choix pour un peuple de cueilleur chasseur qui les utilisait comme panier, comme vêtement ou bien, posés à même le sol, servaient à recouvrir et protéger la nourriture du soleil, etc. Mais derrière ces lignes méticuleusement apposées se cache bien plus que la sacralisation d’une pratique artisanale élevée aujourd’hui au rang d’art : il s’agit de rendre hommage et de maintenir en vie une culture et un savoir plurimillénaires.

"Wupun (Sun Mat)" (détail), de Regina Wilson PILAWUK

Voir d'autres oeuvres de la peintre aborigène Regina Wilson PILAWUK

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8 janvier 2020 3 08 /01 /janvier /2020 14:12
art aborigène

Ada Pula Beasley est une peintre aborigène originaire de la communauté d’Ampilatwaja dans le désert central (Territoire du Nord). Issue d’une famille d’artistes (sa mère et sa sœur sont peintres également), elle réalise sa première toile en 2012. Elle propose des représentations figuratives de son territoire. Ses toiles sont riches en détails et, généralement, les différentes espèces animales et végétales représentées y sont reconnaissables (spinifex, acacias, etc.).

Tout en optant pour un sujet à priori classique, Ada Pula Beasley s’émancipe des codes de la peinture traditionnelle en optant pour la figuration là où la plupart des artistes du désert travaillent de manière abstraite évoquant leur territoire à travers une série de symboles. Ce choix d’une représentation plus réaliste est commun à plusieurs artistes de la communauté d’Ampilatwaja et contribue à son rayonnement.

Autre spécificité : Ada Pula ne fait pas ici référence au temps du Rêve (temps mythique de la Création du Monde par les ancêtres) comme c’est généralement le cas dans la peinture aborigène. Ses œuvres sont plutôt à concevoir comme un hommage à son environnement proche, riche en ressources bénéficiant notamment à la médecine traditionnelle encore en usage aujourd’hui. Cette pratique est en effet au cœur des préoccupations de la peintre qui, parallèlement à son activité artistique, exerce en tant que soigneuse traditionnelle. Elle est par ailleurs particulièrement engagée dans la transmission de ces savoirs aux jeunes générations pour qui la pratique de la médecine traditionnelle constitue l’un des derniers point d’ancrage dans leur Territoire ancestrale.

Voir toutes les oeuvres d'Ada Pula sur le site de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob

Voir les oeuvres de la communauté d'Ampilatwaja

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12 novembre 2019 2 12 /11 /novembre /2019 15:57

Mapa Wiya (Your Map's Not Needed):
Australian Aboriginal Art from the Fondation Opale

La Menil Collection (Houston, Texas) propose une très belle exposition des collections de la Fondation Opale, du 13 septembre 2019 au 2 février 2020

L'exposition-événement, Mapa Wiya (Your Map Not Needed) rassemble pour la première fois aux Etats-Unis (Menil Collection, Houston, Texas) plus d’une centaine d’œuvres (toiles et artefacts) de la Fondation Opale (Lens, Suisse), l’une des plus importantes collections privées d’art aborigène.
 
Le titre "Mapa Wiya", qui signifie « pas de carte » en langue Pitjantjatjara, se réfère à une œuvre récente de l’artiste aborigène Mumu Mike Williams Kunmanara (1952-2019) que l’on peut retrouver dans l’exposition. Le travail de l’artiste s’appuie sur le réemploi d’anciennes cartes officielles et de sacs postaux sur lesquels apparaissent les contours de l’Australie. Par l’ajout de peinture, il en propose une relecture personnelle offrant à voir la superposition d’une approche occidentale et aborigène d’un même territoire.

Mumu Mike Williams Kunmanara, Mapa Wiya, 2017, encre et acrylique sur carte, 59x90 cm, Fondation Opale (Suisse). © Kunmanara (Mumu Mike) Williams. Avec la permission de la Fondation Opale (Lens, Suisse).

Le regard de Mumu Mike Williams nous rappelle l’importance fondamentale du paysage dans la pensée aborigène. Crée par des ancêtres mythiques au Temps du Rêve (le temps de la Création ou Dreamtime), il est à la fois lieu de vie et espace sacré.
Traditionnellement, chaque groupe habitait un territoire précis dont la connaissance à la fois géographique et mythologique se transmettait de génération en génération notamment par le biais des pratiques artistiques (dessin, danse...).
 
Héritier de ces traditions, l’art aborigène contemporain nous offre encore bien souvent à voir ces territoires ainsi que les mythes qui s’y enracinent.  
 
Ce sont ces notions de paysage et de territoire que l’exposition nous propose d’explorer à travers le travail d’un grand nombre d’artistes aborigènes parmi les plus renommés, comme Emily Kame Kngwarreye (1910–1996) ou encore John Mawurndjul (né en 1952).

Plus d'informations sur le site de la Menil Collection

art aborigène, Houston
Yaritji Youg, Tjala Tjukurpa (mythe de la fourmi à miel), 2017, acrylique sur toile, 200x300 cm, Fondation Opale (Suisse). © Copyright Agency/Artists Rights Society (ARS), New-York, 2019. Avec la permission de la Fondation Opale (Lens, Suisse).

 

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6 novembre 2019 3 06 /11 /novembre /2019 11:48

La Montagut Gallery, en association avec la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob propose une exposition dans laquelle le public pourra découvrir pour la première fois à Barcelone une grande sélection d’œuvres qui témoignent de la diversité de l’art aborigène contemporain.
 
Trois régions centrales en terme de création artistique y sont mises en lumière : les régions désertiques du centre de l'Australie, la Terre d’Arnhem et l’île d’Erub dans le détroit de Torres.
Pour le désert central, le public pourra retrouver des artistes renommées comme Dorothy Napangardi ou Abie Loy Kemarre figurant dans les collections du MET de New-York ou, pour la France, du musée des confluences de Lyon.
L’exposition offre également à voir de la sculpture avec les Mimih, créatures mythiques de Terre d’Arhnem et les ghostnets, représentations en filets de pêche recyclés d’une faune marine menacée.

« En tierras australianas »
à la Montagut Gallery
C/ Pau Clarís, 163 - 08037 BARCELONA


Vernissage jeudi 7 novembre 2019, de 19h À 22h
8 novembre - 13 décembre 2019
du lundi au vendredi de 10 h à 14 h et de 16 h à 20 h
Les samedis sur rendez-vous
www.galeriamontagut.com
+34 678 027 692


Contacts Paris :
www.artsdaustralie.com - 01 46 22 23 20
 
Cliquez ici pour retrouver le portfolio en ligne de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob.

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10 octobre 2019 4 10 /10 /octobre /2019 10:07
Art Elysées

La galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob participe à
ART ELYSÉES ART & DESIGN, stand 123 A

Pavillons, avenue des Champs-Élysées, Paris 8e
de la place Clemenceau à la place de la Concorde

Horaires d’ouverture au public
du jeudi 17 au lundi 21 octobre 2019
tous les jours de 11h à 20h, lundi fermeture à 18h

+ d'informations sur le site de la foire

Voir le portfolio en ligne de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob (art aborigène et insulaire du détroit de Torres)

Voir les photographies du stand

 

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10 octobre 2019 4 10 /10 /octobre /2019 10:07

A quelques kilomètres de Zurich, dans la très jolie ville de Zoug, ne ratez pas les deux expositions consacrées à l’art aborigène au Kunsthaus Zug jusqu’au 10 janvier 2020 : « My Mother Country - Malerei der Aborigenes - Collection Pierre et Joëlle Clément » & « Emily Kame Kngwarreye - Collections privées australiennes ».
Une telle présentation est inédite dans un musée d’art contemporain européen et montre une fois encore l’extraordinaire modernité de ce mouvement artistique exceptionnel.
 
 Voici le texte de présentation de l'exposition en anglais par son commissaire :
« Outside it’s getting cold and grey, but inside warm colours are shining from far away – from a place where spring begins when we hold our autumn exhibition: Australia. Large-scale pictures whose warm tones are reminiscent of the light of a flickering candle, earthy and sensual. They tell stories of rituals and of a great sense of attachment to the power of nature. At the same time, these free, open pictures appear astonishingly modern.
The history of the area from which these shining colours originate is in fact a dark one. They are from the Northern Territory and the region around Alice Springs, where Aboriginals were put in reservations, disenfranchised and dispossessed. Only in the last fifty years have they been acknowledged as citizens with all concomitant rights. In expansive deserts, uprooted people took to paintbrush, paint and canvas to express their identity in a unique manner. It was to this area that the Australian artist and art educationist Geoffrey Bardon travelled with painting utensils in 1971. First the local children started painting, then soon the adults joined in. Bardon was interested in the Aboriginals’ own aesthetic ideas, their myths and their custom of creating art on their bodies and in sand. He was interested in their origins. This was a time when society was only just beginning to offer them respect again, in a series of painstaking judicial steps. From the early 1970s onwards, their powerful pictures began to be highly regarded in art circles, and today they are found in the important art museums of Australia and in collections in the USA and Europe.
Joëlle Clément and her husband Pierre live in Zug, and also travelled regularly to the Northern Territory to meet some fifty artists with whose personal help they compiled their significant collection of Aboriginal paintings. In the Kunsthaus Zug, the Cléments are now making their collection accessible to a museum-going public for the first time. This is the first-ever thematic exhibition of contemporary Aboriginal painting in a Swiss art museum, though its significance has already been revealed in an artistic context in important institutions in Europe, Japan and the USA. This exhibition of the Pierre and Joëlle Clément Collection comprises a carefully chosen selection of some 80 works by 50 artists, both men and women, painted between 1998 and 2008.

Works by one of the most important and internationally celebrated artists among the initial representatives of this tradition can be seen here in a separate solo exhibition: Emily Kame Kngwarreye (*1910; † 1996), who grew up in Utopia (to the north-east of Alice Springs). After the end of the Aboriginal reserves, she lived and worked on a farm where she also found encouragement for her artistic potential. She subsequently won national and international recognition as an artist. In 1988/89 she began painting on canvas. Her works are closely connected to the landscape and the traditional rituals of her people, and they have been shown all over the world. Her paintings are to be found today in the collections of important art museums in Australia and the USA.
This solo exhibition at the Kunsthaus Zug is the artist’s first in a European art museum and comprises twenty choice paintings from different phases of her career from two private collections in Australia. »

Commissaire : Matthias Haldemann
 
 
My Mother Country – Malerei Der Aborigines
Sammlung Pierre und Joëlle Clément, Zug


Emily Kame Kngwarreye
Werke australischer Privatsammlungen

Kunsthaus Zug
Dorfstrasse 27, 6301 Zug
SUISSE
29 septembre 2019 - 12 janvier 2020
+ d’infos sur le site de la Kunthaus Zug

Cliquez ci-dessous pour retrouver sur le site de la galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob des œuvres d’artistes dont les toiles sont exposées à la Kunsthaus Zug :

Joy Jones

Gloria Petyarre

Dorothy Napangardi

 

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11 septembre 2019 3 11 /09 /septembre /2019 13:33

BIENNALE PARIS 2019

Art aborigène, Grand Palais, stand B27. 13-17 septembre 2019

Stéphane Jacob-Langevin AM, expert en art aborigène et officier honoraire de l’Ordre d’Australie, présente sur le stand B27 une sélection d'oeuvres de qualité muséale créées par des artistes aborigènes et insulaires du détroit de Torres (Queensland).

Voir les photographies du stand B27

art aborigène, expert
Art aborigène et insualire du détroit de Torres, Australie. Biennale Paris

Dorothy Napangardi, Abie Loy Kemarre, Rosella Namok, Erub Arts, etc.

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11 septembre 2019 3 11 /09 /septembre /2019 13:24

PARCOURS DES MONDES 2019
 

La galerie Arts d’Australie • Stéphane Jacob expose à la

Galerie de Causans - 25 rue de Seine - Paris 6

du 10 au 15 septembre 2019

Voir les photographies de l'exposition

art aborigène, rue de seine, paris6

 

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11 juin 2019 2 11 /06 /juin /2019 10:07
art aborigène
"Before Time Began", une exposition à voir à la fondation Opale
La fondation Opale propose une nouvelle exposition :
"Before Time Began. Art aborigène contemporain"

Cette exposition, majeure à plus d'un titre, propose aux visiteurs une sélection d'œuvres réalisées pendant les cinquante dernières années aussi bien en Terre d'Arnhem que dans le désert (Papunya, les communautés d'APY, etc.). Les mediums présentés sont multiples (toiles, écorces, vidéo, installation, sculptures) et d’extraordinaires oeuvres collaboratives ont été créées spécialement pour l'exposition, notamment deux monumentales peintures collaboratives et une étonnante installation composée de 1500 lances !

Ces différents éléments permettent ainsi d'apprécier l'évolution des arts aborigènes au fil des années, les nombreux styles qu'ils recouvrent et l'étendue des médiums utilisés. Pour ceux qui auraient encore pu en douter, l'art aborigène est un véritable art contemporain !

Jusqu'au 29 mars 2020
Fondation OPALE
Route de Crans 1
CH–1978 Lens - SUISSE

Site de la fondation Opale

Où trouver des oeuvres d'art aborigène en France ?

 

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Présentation

  • : Le blog de la galerie Arts d'Australie • Stéphane Jacob, Paris
  • : Stéphane Jacob, diplômé de l'Ecole du Louvre, spécialiste de l'art australien contemporain, expert C.N.E.S. en art aborigène, a créé en 1996 la galerie Arts d'Australie · Stephane Jacob en France à Paris dans le XVIIe arrondissement. Expert en art aborigène. Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en Objets d’Art et de Collection (C.N.E.S.) - Membre du Comité Professionnel des Galeries d'Art - Officier honoraire de l’Ordre d’Australie Retrouvez-nous sur www.artsdaustralie.com
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