La vente aux enchères organisée à Londres le 14 mars dernier par Sotheby’s atteste de l’intérêt toujours grandissant pour l’art aborigène sur la scène internationale. En effet, cette vente qui réunissait des acheteurs venus du monde entier a permis de battre de nouveaux records dans le domaine.
Premier constat : la cote d’Emily Kame Kngwarreye ne cesse d’augmenter. Sa toile Kame-Summer Awelye II, 1991 était le lot phare de la vente et a été adjugée pour £309,000 (AUD $547,391), devenant ainsi la deuxième oeuvre la plus chère de l’artiste.
Ces lots provenaient de deux collectionneurs réputés : l’Américain Dennis Scholl et le Suisse Stefano Spaccapietra, tous deux attachés, comme Sotheby's et nous-mêmes, à la provenance de leurs œuvres. Ainsi, toutes les œuvres aborigènes contemporaines provenaient exclusivement de centres d’art ou de sources honorablement connues sur la place.
Voir ici le compte-rendu de la vente en anglais écrit par Jane Rafan.
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